Une priè(y)re pour qui aimait jouer avec la gravité
Derrière ce jeu de mots fabuleux et ô combien recherché se cache une nouvelle qui a de quoi à faire bondir ceux qui ont aimé les aventures de l’indien dans l’espace. Prey, en plus d’être plutôt bien réalisé à l’époque, se démarquait par un gameplay original, laissant le gamer faire joujou avec la gravité et utiliser des portails dimensionnels pour progresser.
Et bien dans Prey 2, il n’y aura rien de tout ça ! C’est le développeur qui le dit, avec comme argument la volonté de ne pas faire de cette suite un FPS un peu trop orienté puzzle-game. Et d’un point de vue scénaristique, ça ne collerait plus, ces deux éléments étant en rapport direct avec la Sphère (lieu où se déroulait l’action du premier).
Doucement mais surement, Prey 2 se démarque de son ainé, en retirant des éléments qui ont grandement contribué au charme de celui-ci. Sans vouloir présumer de la qualité de cette suite, on est tout de même en droit de douter de sa légitimité… Peut-être aurait-il été plus simple de développer un nouveau jeu.
