Dossier

30.09.2018 à 06h00 par - Rédacteur |Source : La Rédaction

Le Morceau du Dimanche : Et Olivier Derivière étalait son talent en moins de 2 minutes

Assassin's Creed pris en flag

On se retrouve une dernière fois en septembre pour un petit Morceau du Dimanche, le moment de la semaine où on lâche le pad pour mieux le reprendre après l'écoute d'un bout de bande-originale qui vaut le détour. A quelques jours de la sortie d'Assassin's Creed Odyssey, on revient sur un moment de la saga, marqué par 1'30 de bonheur auditif. Aux commandes, on retrouve un certain Olivier Derivière.

Vous connaissez certainement Olivier Derivière, surtout si vous êtes comme nous chez Xbox-Mag des joueurs qui suivent assidument les sorties de jeux développés dans l’hexagone. Que ce soit pour le récent Vampyr de DONTNOD ou a chaque fois -ou presque- que le développeur Spider Games a sorti un jeu et que Focus Home Interactive l’a édité (Of Orcs and Men, Bound by Flame ou encore The Technomancer), on a retrouvé Olivier Derivière à la composition. Et il faut croire que le monsieur qui fêtera bientôt ses quarante ans s’est fait une spécialité : donner du cachet à un jeu, peu importe son niveau de qualité général.

Non, Bound by Flame ou The Technomancer n’étaient pas de très grands jeux. Pas plus que Remember Me de DONTNOD (encore). Et puis il y eut aussi Alone in the Dark, le reboot de 2008 : un titre prometteur, finalement d’une lourdeur indescriptible mais dont la bande-originale avait néanmoins marqué les esprits (on en parlait d’ailleurs dans ce dossier du mois de mars dernier). Entre la qualité de la composition de Derivière et le relatif sauvetage de la réputation d’Alone in the Dark, il n’y a qu’un pas que l’on emboite sans aucune hésitation.

Mais l’une des plus compositions d’Olivier Derivière tient à notre sens en 1mn30, soit le temps que dure la musique qui accompagne en 2013 le trailer de l’extension d’Assassin’s Creed IV : Black Flag intitulée Le Prix de la Liberté (Freedom Cry). Avant de s’ouvrir aux joueurs, la quête d’Adewale s’offre un moment de musique épique, en moins de temps qu’il n’en faut pour attester (si besoin est) des grandes qualités de compositeur d’Olivier Derivière.

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