Le vice du jeu vidéo
Davilex (Sheriff fais moi peur,
Paris-Marseille Racing, USA Racing…)est le parfait exemple de l’éditeur qui ne tient
absolument pas compte de l’avis des joueurs et se permet d’investir un minimum
dans le développement de ses jeux. Cet éditeur néerlandais est un exemple pour
la profession…Malgré ses investissements minimums, ses navets reconnus et ses
licences merdiques Davilex garde la santé ! Pourquoi faire de bons jeux quand le
consommateur de base préfère l’emballage au contenu. A méditer, en espérant que
les éditeurs ne deviennent pas tous des Davilex dans les années à
venir.
Miami vice est un jeu d’action à la troisième personne avec Don
Johnson et Philip Michael Thomas modélisés à la perfection, un balai dans le cul
en prime. Les deux playboys de Miami doivent éliminer les méchants à travers des
niveaux plus ou moins identiques, le jeu fait penser à Bad Boys, une référence
dans le jeu d’action…Don Johnson et Philip Michael Thomas doivent se retourner
dans leur tombe ! Quoi ? Aaah ils ne sont pas encore morts, les pauvres.