The Club
The Club s’ouvre sur un menu simple, allant à l’essentiel. Chaque personnage est très clairement nommé et succinctement présenté selon ses aptitudes : rapidité, efficacité, précision. Huit guerriers sont disponibles au total : du prisonnier russe à l’ancien flic new-yorkais en passant par un sociopathe assez étrange ou même un africain tendance vaudou. Une fois le tireur sélectionné, il faut s’inquiéter du terrain de jeu. Le choix est satisfaisant et varié puisque des environnements comme Venise, une prison, un manoir, un navire, une usine désaffectée, etc. sont proposés. Chacun propose lui-même plusieurs missions nivelées selon plusieurs niveaux de difficultés ensuite. Le but principal étant de shooter tout ce qui bouge, les modes sont assez simples à assimiler. Il suffira d’avancer le plus vite possible et d’engranger un maximum de points pour se conformer aux objectifs fixés, en reprenant autant de fois que nécessaire la même mission, jusqu’à la connaître par cœur et exploser les scores, tout en augmentant la difficulté. Un concept basique, clairement mentionné depuis son annonce par les développeurs, le joueur sait donc bien à quoi s’en tenir.
Une fois la démo lancée en mode normal en plein Venise, l’action arrive vite, et par la grande porte. Les ennemis ne sont pas forcément des centaines à l’écran mais assez pour ne jamais s’ennuyer et tirer à un rythme régulier. Il le faut d’ailleurs impérativement pour que les décès s’enchaînent et fassent grimper les combos pour rapporter plus de points. Le système peut sembler, et l’est vraiment, très bourrin mais quelques petits coups spéciaux comme les headshots ou des cibles spéciales rapportent plus de points et le score augmente plus vite. Rapidité, efficacité mais aussi précision sont donc les maîtres mots du gameplay, prêt à faire passer des nuits blanches aux aficionados de jeux terminés jusqu’à l’os avec tous les scores au maximum. Et avec les 17 armes proposées au fil de la progression, les sensations et manières d’anéantir l’ennemi seront multiples. Pour couronner le tout, les décors fourmillent de détails, sont à la fois assez confinés comme ce niveau de Venise et immense comme nous l’a montré le développeur avec une immense bâtisse ouverte sur des terrains à l’extérieur. Là aussi beaucoup de détails et des graphismes vraiment léchés jusque dans les destructions causées par les impacts de balle ou de roquette sur les murs et les éléments du décor. Reste à découvrir toute la partie multijoueurs dans sa totalité puisque non présentée ici. Neuf modes seront jouable en ligne avec gestion des highscore et le combo splitscreen et link de console sera proposé offline.