Fanday : Devil May Cry 4, on y a (re)joué
A l’occasion d’un bien nomméfanday blockbusters organisé de main de maître par nos copains-anges de Heaven (qu’on remercie encore au passage), nous avons eu l’occasion d’essayer et/ou de voir tournerplusieurs jeux à Parismardi dernier,parmi lesquelsle nouveau Burnout (dont le test ne devrait plus tarder), Lost Odyssey (une preview complètearrive très bientôt) et Rainbow Six Vegas 2, plutôt sympa en apparence même si on attendra de pouvoir vraiment le prendre en main pour juger.
Le jeu qui a le plus retenu notre attention a été cependant Devil May Cry 4, jouable dans sa version Xbox 360. On pouvait essayer les premiers niveaux dans les deux modes de difficulté disponibles, pas super longtemps, mais assez pour confirmer nos bonnes impressions de Leipzig. En premier lieu, il faut souligner la grande qualité graphique du titre. Les environnements sont souvent très bien designés et mis en valeur par d’audacieux angles de prise de vue. L’animation est excellente, que ce soit dans le sens de la fluidité de l’action, jamais prise en défaut, ou dans celui des mouvements des protagonistes, terriblement classieux. Une des seules ombres au tableau concerne, justement, les ombres portées sur les personnages, pas assez nettes par rapport à la qualité d’ensemble des visuels. Ceci dit, très honnêtement, ça passe au regard du reste.
Les quelques minutes passées sur cette version sans doute à 99,9% définitiveauront été l’occasion de visionner la séquence d’intro du jeu sur un bon gros écran HD, et là encore, l’impression est plutôt bonne. On a droit à une cinématique à la Capcom, très dynamique dans le montage, longue et mettant en avant la rivalité Dante-Neroqui constituera l’un des fils rouge du scénario par le biais d’un combat très acrobatique.
Rapidement, nous avons pu entrapercevoir quelques éléments de gameplay intéressants, comme de petits puzzles à résoudre à l’aide du Devil Bringer, le bras-démon de Nero, qui ne servira pas qu’à tabasser son prochain, mais aussi à déplacer certains objets ou libérer l’accès à des pièces bonus.
A noter aussi les statues disséminées dans les niveaux, qui permettront d’améliorer les aptitudes de Nero. De nombreuses techniques peuvent être achetées avec des points rassemblés au cours des combats. Le jeune héros peut ainsi perfectionner ses attaques à l’épée, au pistolet et au Devil Bringer. On peut choisir d’acquérir les techniques que l’on veut ou bien de répartir les points automatiquement. On peut aussi acheter une technique puis, plus tard, s’en séparer et récupérer les points dépensés pour en apprendre une autre, cela aboutissant à un turnover qui pourrait être intéressant d’un point de vue stratégique.
Cet essai, trop rapide pour en tirer de vraies conclusions,nous a donc permis de confirmer nos bonnes impressions sur DMC 4, et c’est déjà pas mal, dans la mesure ou il n’évoluera plus d’ici sa sortie, le 8 février. Définitivement l’un des gros espoirs du début d’année pour nous.
Remerciements aux contacts de Nobilis, Ubisoft, Electronic Arts et Microsoft présents au fanday.