THQ Partners : la bonne direction ?
L’idée est la même que chez Electronic Arts : sortir du schéma d’édition habituel de l’industrie. Un éditeur, en l’occurrence THQ, propose à un studio d’utiliser ses capacités de production et de distribution à travers un contrat moins contraignant, autorisant plus de liberté créative.
L’arrivée de ces nouvelles solutions est évidemment une bonne chose pour les studios indépendants, car elle montre un intérêt nouveau des éditeurs pour la qualité des jeux publiés. Un tableau peut-être un peu trop idyllique, cependant le très bon bilan d’EA Partners plaide en faveur de ce genre de label, qui représente désormais une véritable alternative au contrat d’édition classique et accumule les projets intéressants.
EA a d’ailleurs salué l’initiative de THQ, en précisant bien que si le succès n’était pas garanti, le soutien aux studios indépendants était vital pour l’industrie du jeu vidéo en général.
Aucun contrat n’a encore été annoncé du côté de THQ, néanmoins l’éditeur a précisé qu’il nourrissait de grandes ambitions et visait "les meilleurs studios indépendants". On espère en apprendre davantage à l’E3.