"Kinect Sport a été le premier jeu que j’ai fait auquel ma mère a joué. Elle a pu me regarder y jouer et apprendre les commandes instinctivement à partir de ce que je faisais." Burton a également expliqué les difficultés rencontrées avec Kinect Sport, en particulier avec le football, afin de trouver le bon gameplay, équilibré entre ce que le joueur peut contrôler ou pas. Il a également affirmé que le lag de Kinect était moins important que celui d’un pad traditionnel. O RLY ?

Mais c’est surtout pour l’avenir que le studio fait part de ses espoirs. D’après Burton, seules 10 à 15% des possibilités sont exploitées pour le moment, et il resterait encore à explorer les possibilités "virtuellement sans limites" de l’objet. "Maintenant, nous pouvons dire ‘Kinect, pause’, ce qui est très bien[pour contrôler la lecture de films, NDLR]. Mais imaginez vous assis dans votre salon en disant ‘Kinect, divertis moi’. C’est ce vers quoi nous allons." On a hâte de voir ce que nous réserve l’avenir, et ce qui se cache réellement parmi les 85 à 90% du potentiel "sans limites" de Kinect encore non dévoilé. À l’E3, peut être ? Et puis, 90% de quelque chose d’illimité, ça fait combien ?