Borderlands 2 : Nos premières impressions !
Pour les nouveaux arrivants, Borderlands c’est avant tout des armes de folies grâce à un système capable de générer près de 17 millions d’armes différentes, excusez du peu. On ne change donc pas les habitudes avec cette suite, et chaque arme ramassée ne ressemble en rien à la précédente, ce qui est un énorme plus vis à vis de la concurrence et apporte une variété non négligeable. Toujours jouable jusqu’à 4 joueurs en coopération (et vivement recommandé, puisque le titre est censé se jouer comme ça pour en profiter au maximum), on a en revanche arpenté le niveau de cette démonstration à 2 joueurs seulement. Aucun problème toutefois, puisque le plaisir de jeu est toujours là. Vous avez donc le choix parmi quatre personnages (deux du précédent opus et deux nouveaux), et c’est aux commandes de Salvadore, gros bourrin de service, que nous nous sommes lancés dans cette nouvelle aventure.
Un poil plus léché graphiquement, ce Borderlands 2 promet également plus de variété dans ses décors (là où dans le précédent opus il était essentiellement question d’étendues désertiques). Ainsi, c’est dans une ville à l’apparence futuriste que nous avons semé la terreur en détruisant les statues du méchant de service, pendant que des hordes d’ennemis tentaient de nous en empêcher. Capacité spéciale de Salvadore et nouveauté de Borderlands 2, il nous était possible pendant un temps limité de tenir une arme dans chaque main (à savoir un lance-roquettes et une mitrailleuse lourde pour l’occasion). De quoi infliger de très lourds dégâts aux ennemis et rapidement se débarrasser d’eux. A cela, il faut ajouter un système d’évolution du personnage similaire à celui du premier épisode, dans lequel vous pourrez améliorer vos capacités (plus résistant, plus de munitions etc.).
Bien que l’on vous reparlera du jeu plus en détail avant sa sortie, ce premier (et rapide) aperçu ne surprend pas mais reste très efficace. Les fans du premier épisode seront aux anges, tandis que les néophytes risquent de découvrir un titre prenant, solide et à l’humour certain. Rendez-vous est pris pour le 21 septembre prochain !