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Vous le savez déjà si vous suivez l’actualité de jeux comme Diablo ou Overwatch, Activision-Blizzard est au cœur de polémiques dont l’éditeur ne semble pas parvenir à se sortir. Cette fois-ci, c’est le Wall Street Journal qui est à l’origine de la colère du monde du jeu vidéo et des employés. En effet, le média américain a dévoilé il y a peu que le dirigeant Bobby Kotick était au courant des affaires de viols et d’agressions sexuelles qui ont eu lieu au sein des studios. Son inactivité (et le fait que la direction fasse bloc) pousse(nt) d’ailleurs les employés à faire une nouvelle fois grève, ces derniers revendiquant la tête de leur patron.

Face à cette triste actualité, Jim Ryan, grand patron de Sony Interactive Entertainment, est sorti, il y a quelques jours, de sa réserve, se disant découragé et doutant même de la capacité de l’éditeur américain à pouvoir répondre à la situation. Et comme si ce n’était pas suffisant, on apprend aujourd’hui par l’intermédiaire de Bloomberg que Phil Spencer annonce évaluer les différents aspects de leur relation avec Activision-Blizzard. Même si cela ne définit pas clairement ce que Microsoft pourrait réellement faire, le fait que les deux constructeurs et principaux partenaires prennent une telle position n’a rien de bon pour l’éditeur américain dont l’avenir semble bien nuageux.