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Et de un, et de deux, et de trois, et de quatre ! Nous avons eu le plaisir d’être accueillis sur le stand de Modus Games pour la présentation de quatre titres à venir sur nos consoles. On vous fait un gros récap’, avec quelques gros coups de cœur !

Teslagrad 2

C’est tout d’abord le tout récemment annoncé Teslagrad 2 qui s’est laissé approcher pendant une session de gameplay hands off de près de dix minutes. Outre la qualité graphique du titre déjà mise en avant dans le trailer d’annonce, il nous a été présenté les différents pouvoirs et compétences de notre héroïne Lumina, une jeune Teslamancer dont le vaisseau s’est crashé sur Wyrmheim. Celle-ci peut ainsi utiliser ses pouvoirs électro magnétiques pour s’accrocher aux parois, ou au contraire s’en écarter, en utilisant un système de changement de couleur de son pouvoir, comme si elle inversait les bornes + et – de sa pile intérieur.

Lumina dispose également d’un dash électrique qui lui permet de passer au travers d’ennemis pour éviter le conflit, ou d’obstacles en tous genres tels que des grilles ou des chutes d’eau. Concernant l’eau, il est justement possible d’y circuler librement et d’ainsi remonter des courants ou de passer dans des cavités. Globalement, le jeu offre des visuels magnifiques n’ayant rien à envier à un certain Ori et les compositions musicales de la présentation ont su se faire remarquer en quelques minutes. Côté difficulté, on nous a présenté certaines phases où les différents pouvoirs s’enchainaient de manière rapide, ce qui doit nécessiter, on le pressent, une certaine maitrise. Pour notre plus grand plaisir.

Kukoos Lost Pets

Le second titre présenté se nomme Kukoos Lost Pets. Il s’agit d’un plateformer 3D coloré où prennent vies de rondouillards personnages au visuel enfantin. Côté histoire, il est question de comprendre pourquoi nos animaux de compagnies se sont rebellés et enfuis. Il est ici question de parcourir des niveaux pour accumuler des pièces tout en résolvant des énigmes assez simples. Si le titre semble très accessible de prime abord, et le joueur doit utiliser une feature bien spécifique pour progresser à travers les niveaux. En effet, il peut générer une plateforme au dessus de sa tête, et de laquelle pend une liane où il peut s’accrocher, se balancer, et réaliser d’autres actions pour éviter les différents dangers. Nous avons également pu assister à un combat de boss où les Kukoos devaient abattre un calamar géant car oui, le titre est jouable en multi jusqu’à 4 joueurs.

Afterimage

Afterimage, développé au sein du studio chinois Aurogon Shangai fut le troisième titre présenté. Cette (trop courte) présentation fut l’occasion de revenir sur les différents niveaux qui composent l’univers d’Engardin. Allant des ruines verdoyantes aux forêts de méduses, en passant par une ville antique ou des donjons plus sombres, la variété semble au rendez-vous. La qualité d’animation de l’héroïne est superbe et ses compétences déblocables semblent nombreuses (même si le nombre a été gardé secret).

Il est dommage que nous n’ayons pu essayer le titre directement car les enchainements véloces et la rapidité des séquences présentées ne nous ont pas permis de prendre le temps d’apprécier comme il se doit la beauté des environnements et des arrières plans qui semblent peints à la main. On peut aisément comprendre la volonté de nous en montrer un maximum pendant la dizaine de minutes accordées mais le travail semble si remarquable que c’est presque à regret que nous avons du enchainer avec le titre suivant.

God of Rock

Le dernier titre avec lequel nous avons été en contact est God of Rock. Deux développeurs ont pris le temps de nous présenter les principes de gameplay de leur titre qui est un versus fighting rythmique. Explications : il est ici question d’appuyer en rythme sur le quatre touches principales (A, B, X et Y) au fil de leur arrivée sur la zone de frappe sur fond musicale de rock déchainé. Des dégâts sont alors infligés à celui qui manque son coup et ce dernier voit ainsi sa barre de vie diminuée. Mais ce n’est pas tout. Différentes jauges de coups spéciaux se remplissent jusqu’au niveau 3, permettant d’effectuer comme dans tout jeu de combat des attaques spéciales à sortir avec une combinaison de touches. La difficulté réside dans le fait qu’il faut réaliser cette manipulation tout en maintenant le rythme effréné des boutons à pousser. Il est également possible pour l’adversaire de renverser la tendance en effectuant un coup spécial de contre de niveau supérieur. Comme on dit, «easy to learn, hard to master».

C’est donc plus que séduits que nous sommes ressortis de cette agréable présentation et Modus Games tient là de merveilleuses pépites, tant sur le plan technique que du gameplay, et dans des genres bien différents.