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Vous rêvez de castagne, de prisons surpeuplées et vindicatives, d’évasion interstellaire, de fin du monde à brève échéance ? Ne cherchez plus : Kiborg est fait pour vous !

Vous y incarnez une montagne de muscles répondant au doux nom de Vassily, le chef d’une bande de rebelles sur la planète-prison Sigma. Votre quotidien est en outre palpitant puisque vous écrasez des hordes d’ennemis avec vos poings, vos pieds, votre front dégarni et les objets contondants, armes blanches et à feu que vous trouvez en chemin.

Ah, esquiver, parer, attaquer, suriner, tirer, détruire les décors avec la tête de vos adversaires… le bonheur quoi ! Par ailleurs, vous avez accès à pléthore d’améliorations affectant autant vos capacités que votre allure et, dès lors, vous pouvez créer une panoplie personnalisée répondant aux us et coutumes du genre : emplacements dédiés, boosts, implants. Le tout-venant me direz-vous (et même un peu plus).

Oui. Sauf que Kiborg ne se contente pas des sentiers battus. En effet, malgré ces possibilités presque illimitées, vos équipements et vos armes s’usent, votre endurance diminue et votre énergie s’épuise. De plus, les munitions sont rares et le temps lui ne s’arrête pas tandis que Sigma se meurt, car ses systèmes automatisés sont irréparables.

Et vos ennemis alors ? Eh bien, ils sont très variés, très agressifs et en quantité industrielle, bien sûr. Or pour avancer et accomplir vos tâches, il vous faut… réfléchir. Pas tout seul, car vous disposez de clones capables d’abattre du vilain à la tonne, mais vous devez tout de même définir une stratégie de combat.

Le jeu propose ainsi divers itinéraires pour atteindre vos objectifs et jalonner votre progression. Certains sont plus faciles que d’autres ou plus rapides, mais pas moins dangereux ; et le résultat de vos décisions est simplement ponctué par l’horloge, le tout procédant d’une gestion procédurale de sorte qu’aucune routine ne puisse s’installer.

Vous pouvez vous reposer, discuter avec vos alliés, vous entraîner, bonifier votre équipement. N’oubliez cependant pas que chaque mission dure un jour, quelle qu’en soit l’issue et que chaque semaine amène une « nouvelle calamité ». Aucune sauvegarde ; pas plus de game over ; Kiborg c’est le combat en temps réel : organique, viscéral et… mortel.

Attendu depuis plusieurs mois et développé par Sobaka Studio à qui l’on doit déjà l’excellent 9 Monkeys of Shaolin, ce cocktail épicé de beat’em up technique mâtiné de rogue-lite n’a encore aucune date de sortie, mais on peut espérer un uppercut sur Xbox Series X|S courant 2025.