F1 25 : on vous dit tout sur le mode My Team 2.0
C'est qui le patron ?

Le mode My Team 2.0 introduit des changements majeurs, à commencer par la transformation du rôle du joueur. On passe d’un rôle jusqu’ici hybride (et peu réaliste) de propriétaire-pilote à celui de propriétaire de l’écurie. On gère donc simultanément l’évolution de nos deux pilotes, ce qui rend le système décisionnel autrement plus réaliste et important pour l’évolution durant la saison. Si l’on avait naturellement tendance à privilégier jusqu’ici notre pilote au détriment du coéquipier et donc de la cohésion de l’équipe, cette gestion simultanée rebat désormais les cartes. My Team 2.0 s’annonce ainsi plus réaliste sur tous les aspects du management, qu’il s’agisse de la balance dans choix des pilotes, de la répartition des ressources ou de la gestion des coûts.
L’expérience acquise dans le jeu ouvre l’accès à des «perks de manager», qui permettent de se spécialiser dans certains environnement du management, et à des éléments de personnalisation qui renforcent l’identité de l’écurie. A ce sujet, un des ajouts mis en avant est le système «Fan rating», qui reflète le prestige de l’écurie et influence entre autres les contrats avec les pilotes et sponsors. La façon dont est perçue l’équipe sur le paddock dépend du Fan Rating. Au travers de ce système c’est aussi la rivalité entre équipes qui est stimulée, créant une dynamique compétitive encore plus palpable. Le quartier général de l’écurie évolue également : il est possible de l’améliorer, de l’agrandir, de répartir la force de travail sur divers aspects pour un maximum d’immersion. Cela inclut une attention particulière à la gestion des revenus et des coûts, afin de maintenir l’équilibre entre ambition et réalité économique. On peut compter par ailleurs sur certains PNJ avec lesquels il est possible d’interagir pour nous aider à mieux appréhender chaque compartiment du développement de l’écurie.
La refonte du système R&D apporte une nouvelle dimension en séparant justement les opérations de recherche d’un côté et de développement de l’autre. Charge au manager de prioriser ses choix avec encore plus de précision. Les joueurs peuvent par exemple opter pour un développement court ou long, avec des impacts sur la qualité du produit fini et un risque éventuel d’échec. Cette stratégie R&D qui se complexifie ajoute une dose de dilemmes éthiques à la gestion : attention à la façon dont chacun de pilotes sera traité en termes d’accès aux innovations si l’on veut maintenir une équipe dynamique et soudée. Par ailleurs, le rôle des sponsors reste naturellement central dans l’économie du jeu. La fidélité auprès des sponsors est récompensée par des avantages croissants, ajoutant une profondeur supplémentaire au système économique.
Enfin, My Team 2.0 ainsi que le mode carrière offriront une plus large liberté quant à l’intégration des « icônes », les pilotes qui ont marqué l’histoire de la discipline. Conscients que leur nombre a beaucoup grandi depuis leur intégration dans la franchise F1, les équipes de Codemasters ont choisi d’offrir au joueur la possibilité d’intégrer tout, partie, ou rien de ces icônes. Certains pourront ainsi privilégier les pilotes d’une certaine époque, tandis que d’autre auront peut-être à cœur de n’utiliser que les personnages fictifs, issus par exemple du futur F1 The Movie. Notons également que l’IA pourra cette année recruter des pilotes icônes et que le joueur a la possibilité d’intégrer une onzième équipe prête à concourir : soit Konnersport (issue du mode Breaking Point) soit APXGP, écurie qui apparaitra dans le film F1. Attention toutefois, cette dernière est réservée aux acquéreurs de l’édition « Iconique » de F1 25.
Avec ces nombreuses améliorations annoncées, le mode My Team 2.0 de F1 25 entend redéfinir cette fonctionnalité qui demeure un pilier central du jeu. Entre immersion, stratégie et innovations, les joueurs auront l’opportunité de vivre une aventure où chaque décision compte. F1 25 sortira le 30 mai prochain sur de nombreux supports, dont les Xbox Series X|S.