On a joué à Cyberpunk 2077: Phantom Liberty, le GOTY des DLC ?
Cette fois-ci, c'est la bonne !
La mission à laquelle nous avons pu jouer débute par une courte introduction dans laquelle on nous annonce qu’il est possible de supprimer la bombe qui se trouve dans la tête de « V ». Pour y parvenir, il faut tout simplement venir en aide au Président des Nouveaux Etats-Unis d’Amérique qui est actuellement en voyage dans son célèbre avion, Air Force One. Seul bémol : l’appareil a été piraté et il s’apprête à atterrir à Night City, là où vous vous trouvez (évidemment).
Le postulat de départ expliqué, on reprend les commandes de notre avatar qui débute dans un quartier resplendissant. Comprenez par là que les lieux ne sont pas spécialement agréables à fréquenter, que du contraire, mais que le moteur du jeu fait des merveilles. Visuellement riche en détails, l’environnement brille également par la vie qui s’en dégage. Des PNJ nous entourent de toute part et leurs discussions nous invitent une nouvelle fois dans cet univers que, pour ma part, je n’avais pas visité depuis quelques mois déjà. L’immersion est en tout cas réussie et ce ne sont pas les plans qui suivent qui viendront nous faire dire le contraire. En effet, une fois sorti de là, on se retrouve sur les toits de la ville à la recherche de l’avion du président qui, une fois dans le ciel, se fait canarder par des missiles. L’un d’entre eux finit d’ailleurs par le toucher ce qui provoque sa chute. Une chute vertigineuse et impressionnante qui, dans sa mise en scène et dans les effets proposés, n’a rien à envier à certaines scènes que l’on peut voir dans les Call of Duty.
Evidemment, cette catastrophe remue la ville entière qui s’active en tout sens. Alors que l’on se dirige vers le lieu de la catastrophe, on croise de nombreux véhicules d’urgence qui roulent à toute vitesse ainsi que des PNJ qui réagissent à ce qu’ils voient. La crédibilité de la scène est plus que valable, nous poussant vivement à accélérer la cadence afin de venir en aide à l’homme fort des Nouveaux Etats-Unis d’Amérique. C’est d’ailleurs en approchant de notre objectif que les choses vont devenir compliquées. Des affrontements éclatent entre les pirates et différents robots. Nous nous en mêlons, ce qui nous permet de reprendre gout aux fusillades. Pour cette démo, les développeurs nous ont proposé une build qui nous permettait de jouer avec une arme de corps-à-corps. Ce n’était évidemment pas le choix le plus délicat, mais il s’est avéré particulièrement efficace. Une fois les quelques batailles terminées, nous mettons (enfin) les pieds dans l’avion, la démo s’achevant au moment même où nous entrons dans le cockpit.
Vous l’aurez donc compris, ce premier contact avec Cyberpunk 2077 : Phantom Liberty est de très bon augure, ce qui est une excellente nouvelle. Le jeu est franchement très joli tout en étant techniquement solide. Sa direction artistique est envoutante et nous rappelle les premiers trailers du jeu qui nous envoyaient du rêve. On espère évidemment que le scénario, les dialogues et l’ensemble de ce DLC seront à la hauteur de cet essai, car si c’est le cas, il se pourrait bien qu’il s’agisse là de l’un des tous meilleurs FPS de cette année. Rien que ça.