On a joué à Crimson Desert, le nouveau jeu d’action-aventure en monde ouvert de Pearl Abyss
L'Aventure, avec un grand "A" ?
Pour vous mettre dans le contexte de Crimson Desert, nous incarnons Kliff Macduff, commanditaire d’un groupe de mercenaires, sur le continent Pywel. Malheureusement, et sans quoi ce jeu n’aurait de raison d’exister, un groupe ennemi menace la sûreté du continent : les Black Bears (Ours Noirs). Nous allons donc prendre en main notre héros afin de mettre fin au conflit et de rétablir la paix dans le monde. Presque un discours de Miss France.
Notre session de jeu se déroule sur ce qui est considéré comme le début de l’histoire, avec une arrivée sur une terre en feu, parsemée de sang et de cendres. Le combat fait rage entre les Ours Noirs et les Greymanes, le groupe mené par Kliff Macduff. Cette bataille est l’occasion pour nous d’apprécier, pour la première fois, les talents en combat de notre héros. Ce dernier, armé d’une épée et d’un bouclier pour bloquer les attaques adverses, semble inarrêtable face à des ennemis sur qui nous prenons rapidement le dessus, grâce notamment à nos combos fulgurants.
Malheureusement, la bataille ne prend pas la tournure attendue pour Kliff, qui voit quelques-uns de ses partenaires tomber au combat. C’est alors que celui qui semble être un chef des Ours Noirs débarquent : Myurdin. Nous nous efforçons de l’affronter, tandis que celui-ci est entouré de ses fidèles qui l’aident pendant le combat, mais la victoire est impossible. Nous nous inclinons et tombons face à plus fort.
S’enclenche alors une cinématique dans laquelle Myurdin tue notre héros en enfonçant son épée dans son torse et en lui tranchant la gorge. Kliff est alors jeté d’une sorte de falaise pour finalement se retrouver dans une sorte de monde parallèle dans lequel il est possible d’affronter cinq boss. Notre choix se porte sur Staglord, le Roi Cerf, qui nous attend fièrement posé sur son trône dans une montagne légèrement enneigée et rocheuse. Grâce aux mécaniques de combat apprises lors de notre affrontement avec les Ours Bruns, nous ne faisons qu’une bouchée de cet adversaire, armé lui aussi d’un bouclier et d’une épée. Une fois le combat remporté, Staglord retourne en rampant sur son trône pour y mourir dignement, avec les honneurs.
Faute de temps, nous n’avons pas eu l’opportunité de nous frotter aux autres boss disponibles. Qu’à cela ne tienne, cette expérience courte, mais intense, a été rassurante. En effet, les sensations sont excellentes et le jeu, aux allures d’un God of War, semble d’un niveau adapté pour les amateurs de jeux d’action recherchant une certaine exigence lors des combats de boss. Une bonne découverte pour un jeu qui s’est définitivement mis en avant lors du salon du jeu vidéo allemand.
il y a fort à parier qu’il sera très attendu pour sa sortie et il nous tarde de le tester. Le rendez-vous est pris : on le reverra à coup sûr en 2025.