1st Look > NBA 2K13
Public Service Announcement
Autre nouveauté pour cette année, vous créerez votre avatar (MyPlayer) d’entrée de jeu. C’est avec lui que vous gagnerez de l’expérience et des crédits, vous permettant de l’équiper comme bon vous semble (chaussures, maillots etc…). Avec plus de 14 000 accessoires, il y a de quoi faire. De même, vous pouvez choisir sa tenue pour les jours de match, les avant-matchs et celle pour le « Blacktop » (qui servira pour les matchs en ligne en 3 contre 3 par exemple et toutes les activités « street »). Le mode MyPlayer de l’an passé devient ici MyCareer, et se voit lui aussi amélioré. Si la plupart de ses aspects ont été améliorés (les commentaires sont plus axés sur votre joueur, vos coéquipiers connaissent désormais vos préférences de jeu et en tirent partie, système de relations amélioré, se servir de Kinect pour donner des ordres direct sur le terrain, etc…), il y en a un qui se fait remarquer : l’ajout de followers ! Tout comme sur Twitter, vous aurez vos fans qui vous suivront, analyseront vos matchs, réagiront sur vos propos tenus lors d’une conférence de presse et j’en passe, bref, il va falloir soigner son jeu mais aussi son image ! Comme en vrai, et c’est exactement l’objectif visé par les équipes de 2K. Tout ça sans oublier les « signatures skills », qui joueront un grand rôle dans vos matchs. Aussi présents de manière « générale » (lors d’un match lambda hors mode carrière par exemple), ces attributs feront la différence avec vos joueurs stars. Le « Dead Eye » sera propre à des joueurs comme Ray Allen, qui n’en rate pas une à 3 points alors qu’un meneur comme Chris Paul disposera du « Floor General », qui transcendera ses coéquipiers sur le parquet. Et ces « skills » respecteront le profil de votre avatar. Impossible donc de créer un géant comme Yao Ming et de dribbler comme Allen Iverson grâce à un signature skill.
Et une fois en short ?
Si de premier abord les changements sont subtils, manette en main, ils sont bel et bien là. A commencer par le stick droit qui sert désormais à dribbler. Beaucoup plus instinctifs que par le passé, les contrôles n’en sont que simplifiés et fluidifiés, et c’est tant mieux. D’ailleurs, ça bouge encore mieux que la saison dernière, les animations et les collisions ayant monté d’un cran. C’est même un poil plus fin graphiquement, même si l’on regrette toujours certains modèles coupés à la serpe. Tout comme FIFA cette année, il vous est aussi possible d’utiliser la fonction vocale de Kinect pour demander un écran, changer de tactique ou même demander un remplacement. De quoi simplifier grandement les choses, surtout que les commandes vocales seront localisées en français.
Avec une attaque plus incisive qu’auparavant, la défense a elle aussi été quelque peu revue. Dorénavant, il sera bien plus simple de contenir un joueur grâce à la gâchette gauche et le stick droit, même s’il faudra un certain temps avant de maitriser le tout à la perfection. Mais notre coup de coeur réside dans le mode MyTeam, qui est, sur le principe, ce qu’est Ultimate Team à FIFA. Et quand on sait que vous pourrez jouer avec le marché (la bourse, l’économie, les flambys tout ça) pour revendre ou bien acheter certains joueurs en fonction de leur performance (en gros, plus ils sont bons, plus faut lâcher des biftons), on a hâte de passer nos nuits dessus pour monter une véritable dream team. Et bien sûr, vos matchs se joueront en ligne. Vivement.