Super Contra
Contra, Super Contra, CDI ou CDD ?
Amérique du Sud, année 2634, Bill Rizer et Lance Bean sont appelés en renfort pour venir contrecarrer l’invasion des forces aliens. La cracheuse de plomb ressort du sac, l’aventure commence. Une introduction aussi légère que le scénario, pour justifier le come-back de nos deux héros. Le lifting made in XBLA a suivi les améliorations qui avaient été apportées à l’époque entre les deux softs, rien de bien exceptionnel mais on apprécie tout de même de pouvoir jouer àune version HD. Cependant, ce nouveau Contra surprend plus par sa difficulté que par ses nouveautés en terme de gameplay. En effet, les quelques niveaux en vue du dessus, avec surfaces inclinées, sont assez délicats à gérer, faisant ainsi défiler les crédits sous vos yeux larmoyants. Les addicts de l’arcade vous le diront, ce nouvel opus demande plus de talent et d’acharnement. Super Contra, ou comment découvrir le « contra » à durée de vie indéterminée.
Super Contra, le besoin d’une coopération en intérim.
Tout comme pour Smash TV, Aegis Wing ou d’autres titres du genre, la coopération se révèle particulièrement utile si vous souhaitez découvrir un jeu sans pour autant y passer trois semaines et sans courir le risque de mourir de déshydratation. Quoiqu’il en soit, aucun changement en terme de gameplay, l’aventure reste similaire à celle que vous aurez tentée 10 fois avant d’atteindre le niveau 3. A vous de vous dégoterun compagnon de fortune et d’avoir la chance de ne pas tomber sur un canard qui va passer trois plombes à shooter une feuille d’arbre avant de comprendre qu’il faut avancer. D’une manière générale, le travail d’équipe paye toujours mieux et ce n’est pas Super Contra qui prouvera le contraire.