Crystal Quest
"J’aime le cristal, c’est fragile et délicat. Et je suis contre la guerre et la faim dans le monde" (Miss France)
Doté d’une ambiance chamarée, baigné d’une musique un peu space, Crystal Quest propose un gameplay à deux facettes : récolte et tir. On incarne une bille (tout arrive) dont l’objectif est de se tirer d’un niveau fermé. Il n’existe qu’une sortie mais celle-ci ne s’ouvre que si on a préalablement récolté tous les cristaux du niveau en question. Il y en a plus ou moins, à ramasser le plus rapidement possible. Attention : sans adversité, ce serait trop facile. Mines vicieuses et ennemis divers rendent la tâche plus compliquée que prévu. M’enfin heureusement quelque part, sinon niveau intérêt… Pour se débarasser de ces vilains, faire feu est encore le meilleur moyen.
Dark Crystal
CQ propose un mode rétro, une version plus ancienne qui ne présente pas un intérêt immense par rapport à la nouvelle, si ce n’est un tir moins maniable qui apporte plus de difficulté. Pour la petite histoire, cette version a été le premier jeu couleur sur Macintosh en 1987. C’était le bon temps comme dirait tante Gisèle. Dans un autre registre, pas de mode multi à l’horizon. Dommage, puisque l’intérêt de Crystal Quest peine à se renouveler au fil du temps. Le soft manque de folie et, bien que complexe, son gameplay n’est pas le plus accrocheur qui soit. 400 points Microsoft (4,80 euros), c’est raisonnable, mais Crystal Quest innove en proposant de multiples minis add-on à 100 points chacun. On ne s’est pas aventurés à tous les acheter, l’intérêt semblant franchement moyen. Tout comme celui du jeu en fait.