Test : Divine Knockout sur Xbox One
K.O Technique ?
Divine Knockout est donc un brawler qui propose trois modes de jeux bien distincts : des combats en 3 contre 3, en 2 contre 2 ou en duel. Chaque bataille se divise en plusieurs petites parties qui proposent des objectifs spécifiques : prendre le contrôle d’une zone, éliminer le plus rapidement possible huit adversaires, récupérer un certain nombre de pièces, garder une couronne un certain temps sans se faire toucher… Le tout se déroule sur des cartes qui possèdent des particularités : une pierre gigantesque qui traverse le terrain et qui inflige des dégâts aux joueurs qui se trouvent sur son chemin, des pièges (lames ou piques) sont dissimulés dans l’environnement… Le tout impose au joueur d’être particulièrement attentif à tout ce qui se trouve autour de lui, en plus des ennemis qui tentent de gagner la partie.
Pour parvenir à évoluer correctement dans ces environnements, Divine Knockout nous propose de jouer en 3D. N’imaginez donc pas vous retrouver aux commandes d’un jeu similaire à Multiversus, par exemple. On est loin du compte. Les maps sont petites et, 3D obligatoire, la gestion de la caméra est extrêmement importante. C’est d’ailleurs l’une des difficultés du jeu : gérer ladite caméra. Lorsque tous les personnages se trouvent au même endroit et que les pièges ou autres objets de l’environnement se mêlent à l’action, cela peut rapidement devenir confus. Cela étant, mis à part ce défaut (qui se gommera partiellement au fil de vos parties), Divine Knockout propose un concept suffisamment original et varié (lors des parties) que pour rendre les choses intéressantes. C’est un bon point pour un jeu qui devra être soutenu à l’avenir pour proposer une expérience complète.
Venons-en maintenant à ce qui nous intéresse le plus dans ce jeu : le roster. Composé de dix personnages, ce dernier vous propose de prendre les commandes de divinités venues du monde entier : Amaterasu (Japon), Athéna (Grèce), Hercule (Romain), Roi Arthur, Thor (Nordique)… Chacune d’entre eux détient une cote (sous la forme d’étoiles) qui indique la difficulté à le jouer. Et s’ils disposent logiquement tous de capacités bien particulières, il n’en demeure que le fonctionnement de base est à peu près le même pour tous : vous disposez d’une technique qui permet de revenir sur l’arène en cas d’éjection, de deux techniques qui infligent des dégâts ou qui vous protègent, et d’un ulti qui se charge au fil de la bataille. À cela, il faut ajouter une attaque faible, une attaque forte ainsi qu’une esquive disponible toutes les trois secondes.
Et si le gameplay des personnages n’est à priori pas des plus originaux, il s’avère tout de même particulièrement efficace. On prend rapidement en main notre héros et on trouve vite ses marques. C’est assez intuitif et peu frustrant, ce qui est quand même l’un des points les plus importants dans un jeu vidéo. Pour les plus aguerris (ou les plus spépieux, c’est selon), Red Beard Games a pensé à eux : il est également possible de modifier les talents pour chacun des personnages. Cela offre une personnalisation relativement poussée qui permet d’adapter l’ensemble au gameplay du joueur. C’est simple, efficace et toujours bienvenu.
Un dernier mot sur le modèle économique du jeu. Comme dans tous les modèles du genre, une boutique est bel et bien présente. Elle vous offre la possibilité, moyennant finance, de vous procurer toute une série de skins, d’émote ou encore d’effet de ko. Les prix pratiqués sont à peu près les mêmes que dans les autres jeux et il faut compter (pour les achats les plus chers) 10 euros le skin. Néanmoins, il existe une autre boutique (la boutique d’étoiles) qui vous permet également d’acheter quelques objets. Pour y parvenir, c’est bien simple, il suffit de se procurer la monnaie du jeu, en jouant. Chaque divinité dispose de son propre pass (gratuit) qui, au fil des parties, vous permet de gagner des étoiles et donc de débloquer du nouveau contenu. C’est toujours bon à prendre. À noter également qu’un battle pass devrait être mis en vente, mais à l’heure actuelle, ce n’est pas encore le cas.
Popularisé par l’excellentissime Super Smash Bros, le genre du Brawler fonctionne particulièrement bien à l’heure actuelle, preuve en est avec le succès retentissant, cet été, de Mulltiversus. Souhaitant profiter de cet engouement, les développeurs de Red Beard Games nous proposent aujourd’hui un jeu du nom de Divine Knockout qui nous invite à prendre le contrôle d’un Dieu et de montrer aux autres (et au monde entier) qui est le patron.
Divine Knockout est donc un brawler qui propose trois modes de jeux bien distincts : des combats en 3 contre 3, en 2 contre 2 ou en duel. Chaque bataille se divise en plusieurs petites parties qui proposent des objectifs spécifiques : prendre le contrôle d’une zone, éliminer le plus rapidement possible huit adversaires, récupérer un certain nombre de pièces, garder une couronne un certain temps sans se faire toucher… Le tout se déroule sur des cartes qui possèdent des particularités : une pierre gigantesque qui traverse le terrain et qui inflige des dégâts aux joueurs qui se trouvent sur son chemin, des pièges (lames ou piques) sont dissimulés dans l’environnement… Le tout impose au joueur d’être particulièrement attentif à tout ce qui se trouve autour de lui, en plus des ennemis qui tentent de gagner la partie.
Pour parvenir à évoluer correctement dans ces environnements, Divine Knockout nous propose de jouer en 3D. N’imaginez donc pas vous retrouver aux commandes d’un jeu similaire à Multiversus, par exemple. On est loin du compte. Les maps sont petites et, 3D obligatoire, la gestion de la caméra est extrêmement importante. C’est d’ailleurs l’une des difficultés du jeu : gérer ladite caméra. Lorsque tous les personnages se trouvent au même endroit et que les pièges ou autres objets de l’environnement se mêlent à l’action, cela peut rapidement devenir confus. Cela étant, mis à part ce défaut (qui se gommera partiellement au fil de vos parties), Divine Knockout propose un concept suffisamment original et varié (lors des parties) que pour rendre les choses intéressantes. C’est un bon point pour un jeu qui devra être soutenu à l’avenir pour proposer une expérience complète.
Venons-en maintenant à ce qui nous intéresse le plus dans ce jeu : le roster. Composé de dix personnages, ce dernier vous propose de prendre les commandes de divinités venues du monde entier : Amaterasu (Japon), Athéna (Grèce), Hercule (Romain), Roi Arthur, Thor (Nordique)… Chacune d’entre eux détient une cote (sous la forme d’étoiles) qui indique la difficulté à le jouer. Et s’ils disposent logiquement tous de capacités bien particulières, il n’en demeure que le fonctionnement de base est à peu près le même pour tous : vous disposez d’une technique qui permet de revenir sur l’arène en cas d’éjection, de deux techniques qui infligent des dégâts ou qui vous protègent, et d’un ulti qui se charge au fil de la bataille. À cela, il faut ajouter une attaque faible, une attaque forte ainsi qu’une esquive disponible toutes les trois secondes.
Et si le gameplay des personnages n’est à priori pas des plus originaux, il s’avère tout de même particulièrement efficace. On prend rapidement en main notre héros et on trouve vite ses marques. C’est assez intuitif et peu frustrant, ce qui est quand même l’un des points les plus importants dans un jeu vidéo. Pour les plus aguerris (ou les plus spépieux, c’est selon), Red Beard Games a pensé à eux : il est également possible de modifier les talents pour chacun des personnages. Cela offre une personnalisation relativement poussée qui permet d’adapter l’ensemble au gameplay du joueur. C’est simple, efficace et toujours bienvenu.
Un dernier mot sur le modèle économique du jeu. Comme dans tous les modèles du genre, une boutique est bel et bien présente. Elle vous offre la possibilité, moyennant finance, de vous procurer toute une série de skins, d’émote ou encore d’effet de ko. Les prix pratiqués sont à peu près les mêmes que dans les autres jeux et il faut compter (pour les achats les plus chers) 10 euros le skin. Néanmoins, il existe une autre boutique (la boutique d’étoiles) qui vous permet également d’acheter quelques objets. Pour y parvenir, c’est bien simple, il suffit de se procurer la monnaie du jeu, en jouant. Chaque divinité dispose de son propre pass (gratuit) qui, au fil des parties, vous permet de gagner des étoiles et donc de débloquer du nouveau contenu. C’est toujours bon à prendre. À noter également qu’un battle pass devrait être mis en vente, mais à l’heure actuelle, ce n’est pas encore le cas.
Sur le plan technique, Divine Knockout est un jeu particulièrement mignon qui, grâce à sa patte graphique, devrait plaire au plus grand nombre. L’ensemble est joli, coloré et, surtout, impeccablement fluide. Les différentes maps nous font voyager et nous emmènent dans des univers fidèles aux mythologies citées précédemment. Enfin, sur le plan sonore, Divine Knockout fait le job. Les thèmes sont charmants, sans rester en tête. On apprécie donc et on espère désormais que les développeurs vont abreuver le jeu de contenu.
+
- Joli ;
- Roster agréable ;
- Objectifs variés ;
- Fun.
-
- Manque de contenu ;
- Incomplet.