Dead Space Ignition
Le vide intersidéral
Isaac, où es-tu ?
Toute la mécanique de Dead Space Ignition repose sur 3 mini-jeux, entrecoupés par les "cinématiques", si l’on peut appeler cela ainsi. Et c’est tout, les 3 mini-jeux sont recyclés, répétés, rejoués. Oh bien sûr, deux fois dans l’histoire, vous aurez un choix cornélien à faire : passer par dedans ou dehors ? Aller réparer le pont B ou le pont A ? L’histoire est donc découpée en un arbre à 4 branches, avec donc 4 fins possibles (chacune finie en 2 heures tout au plus). Croyez moi, une fois que vous l’aurez fini une fois, vous n’aurez pas envie de tester les autres embranchements, tant l’ennui est grand, et ne cesse de grandir lorsqu’on joue à Dead Space Ignition.
Les 3 mini-jeux sont donc la base du gameplay. Dans le premier, il faut faire arriver un point lumineux le long d’un parcours avant les points de l’ordinateur, dans le deuxième, faire atteindre des sortes de virus sur un plateau type « tower defence », et enfinle but du dernier est d’amener des rayons d’une certaine couleur vers leurs récepteurs respectifs. Autant ce dernier peut être intéressant, autant les autres n’ont tout bonnement aucun intérêt : le premier jeu est relativement simple, n’a que peu de profondeur ou de stratégie. Quant au deuxième jeu, il pourrait être intéressant s’il ne se résumait pas à spammer la touche des "virus" d’attaque puis celle des "virus" résistants.