Wada : Square Enix a encore faim, le JV japonais xénophobe
"La combinaison d’Eidos et de Square Enix nous offre une bonne base à partir de laquelle nous pourrons nous agrandir, affirme-t-il. Dans cette optique, nous pourrions choisir d’acquérir d’autres compagnies."
Wada en a profité pour (encore) critiquer le manque d’ouverture du marché du jeu vidéo japonais. Celui-là même dont Square cherche à s’extirper.
"Durant les cinq à dix dernières années, l’industrie du jeu vidéo nipponne est devenu un environnement fermé, sans apport de personnes ou d’idées neuves, presque xénophobe. L’occident est à présent légèrement devant."
Les termes sont durs et reflètent bien le malaise actuel du jeu vidéo japonais. Eidos pourrait n’être qu’une étape dans la reconquête de Square. L’éditeur/développeur britannique devrait garder son identité propre (nom, logo) au sein du groupe nippon.